Mes conseils pour adenome prostate

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Texte de référence à propos de adenome prostate

Examens complémentaires, y compris, entre autres, échographie et mesure de flux urinaire. Traitements envisageables : Le traitement de l’hypertrophie de la prostate dépend du stade des mutations : Dans le cas des humains sujets à l’hypertrophie bénigne de la prostate, mais sans aucun symptôme, en l’absence de gêne et de complication, une surveillance annuelle est recommandée pour les patients présentant des symptômes discrets ou modérés, avec peu de répercussions sur la qualité de vie. Pensez à modifier votre alimentation adaptez-vous aux indications de votre médecin. Si l’hypertrophie bénigne de la prostate créé de des problèmes de l'équipement urinaire, il faudra envisager l’utilisation d’un traitement pharmacologique. Ce traitement est particulièrement efficace avec les permiers stades de la maladie, lorsque les troubles sont relativement mineurs. Voyez les détails avec votre médecin. En cas d’hypertrophie bénigne de la prostate difficile ( environ 10% ), ou lorsque le traitement médical est inefficace ou mal toléré, une solution chirurgicale est envisagée. n’oubliez pas – l’hypertrophie bénigne de la prostate n’est pas une tumeur astucieuse, cependant, sous-estimer les symptômes et refuser le traitement peut mener au cancer de la prostate.

L’adénome de la prostate est présent chez plus de 80% des hommes vers l’âge de 50 ans, mais tous n’en ressentent pas les manifestations. on remarque que près de deux centaines de milliers de gars ont des problèmes urinaires en France. beaucoup de de ces problèmes urinaires sont causés par une hypertrophie de la prostate. Environ 10% de ces hommes auront une intervention chirurgicale sur la prostate et plus de la moitié de ces derniers ont un traitement médicamenteux pour leur hypertrophie prostatique. Les manifestations de l’adénome de la prostate sont la diminution de la intensité du jet urinaire et la lenteur de la miction, les envies d’uriner fréquentes et impérieuses, dans certains cas responsables de fuites urinaires. Ces symptômes existent à des degrés divers selon les patients. au contraire de une idée reçue, l’intensité des symptômes n’est pas liée à la taille de la prostate. Par conséquent, ce n’est pas sur la taille de la prostate que va être proposée ou non une intervention chirurgicale. Nous aborderons plus loin sur quels critères est proposée une intervention chirurgicale en cas d’hypertrophie de la prostate. En revanche, la taille de la prostate peut influencer le choix de la technique chirurgicale utilisée, lorsque l’indication d’opérer est portée.

L’adénome de la prostate se traduit par une hausse du volume de la glande. Si la prostate devient trop volumineuse, elle entraîne la compression de l’urètre, et de ce fait des difficultés pour uriner. On appelle en plus cette croissance abusive l’hyperplasie ou hypertrophie bénigne de la prostate ( HBP ). La prostate est une glande de la ligne reproducteur masculin, entourée par du liquide fibreuse de protection. La prostate se trouve sous la vessie, en avant du rectum. Elle entoure l’urètre, canal qui sort de la vessie et qui permet d’évacuer l’urine. La prostate sécrète le liquide qui compose le sperme. Elle fonctionne à l'aide des androgènes, hormones sexuelles produites par les testicules et les glandes surrénales. on ne connait aucun lien entre l’adénome et le cancer de la prostate. Autrement dit, un adénome de la prostate n’augmente pas le problème de cancer. Il arrive que certains patients soient atteints des deux maladies simultanément, mais cela ne veut pas dire qu’il existe un contact de cause à effet. Le PSA “Antigène Spécifique de la Prostate” est dosé sur un simple prélèvement sanguin dans tous les laboratoires d'évaluation. C’est l'essai le plus efficace maintenant pour suspecter un cancer de la prostate avant manifestation des signes cliniques. Plus le chiffre de PSA est important, plus le risque de cancer accroit.

L’hyperplasie bénigne de la prostate ( HBP ) touche cinquante pour cent des humains à partir de l’âge de 60 ans, mais elle peut entraîner des symptômes à un âge plus jeune. Les traitements médicamenteux sont surtout représentés par les α bloquants ( AB ), les inhibiteurs de la 5-alpha réductase ( 5ARI ) et les inhibiteurs de la phospho-diestérase de type 5 ( IPDE5 ). En cas d’inefficacité ou d’intolérance des soins médicamenteux, se pose la question du traitement chirurgical si besoins après examen urodynamique et/ou endoscopique pour confirmer en cas de doute la spécificité obstructif de la prostate ainsi que l’état de la vessie, et faire disparaitre une sténose de l’urètre. Il s’agit soit de soins crées par direction endoscopique ou en chirurgie ouverte ( adénomectomie prostatique ). L’efficacité de ces soins sur l’obstacle prostatique est majeure, mais les complications de ces interventions ne sont pas rares ( Descazeaud A, et al. 2015 ). L’éjaculation rétrograde est très répandue, peut compromettre la qualité de l’orgasme, perturber la sexualité, et retentir sur la fertilité. Parmi les nouveaux soins, l’embolisation artérielle de la prostate qui est effectuée par les radiologues interventionnels est proposée depuis 2012 en France. Elle revient à occlure les deux artères prostatiques de façon hypersélective par des microbilles calibrées, par ponction de l’artère fémorale. elle se trouve être réalisée en ambulatoire et permet de réduire liés à l’HBP, grâce à une intervention réalisée en ambulatoire, avec un taux de complication plus faible que les techniques chirurgicales de référence.

L’hypertrophie bénigne de la prostate atteint près d’un homme sur deux après 60 ans. Elle se distingue par une augmentation bénigne du volume de la prostate. Celle-ci entraîne des difficultés urinaires : faiblesse du jet, projets très fréquentes d’abord la soirée et ensuite le jour, impériosités mictionnelles, infections urinaires. La complication la plus grave est le blocage urinaire qui nécessite des réflexes de sondage en urgence. Ces troubles altèrent considérablement la qualité de vie des personnes. Depuis 2018, l’embolisation de prostate est menée en routine à la clinique Malartic, établissement du Groupe AVEC, dans le service de radiologie interventionnelle. De nombreux cas ont été traités avec succès en collaboration étroite avec les urologues. Le service de radiologie interventionnelle assume tous les patients atteints d’hypertrophie bénigne. Dans un premier temps, l’urologue traitera ses signes par les traitements chirurgicaux. au moment où traitement médical est insuffisant, le chirurgien urologue peut proposer une résection prostatique qui est le traitement de référence : c’est une intervention courte, efficace, mais qui dans de nombreux cas peut happer des éjaculations rétrogrades.

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