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https://www.lacompagnie.ch/Encore peu en France, le métier d’accompagnateur existe pourtant bien dans l’Hexagone. Mais en quoi consiste-t-il ? Des femmes font appel à un homme afin qu’il leur tienne compagnie le temps d’une soirée ou d’un repas que ce soit dans le cadre professionnel ou personnel. Ce métier ne doit pas être confondu avec de la prostitution, car les accompagnateurs qui escortent des femmes sont clairs à ce sujet, ils ne proposent pas de prestations à personnalité sexuel. Mais pour avoir accès à ce catalogue, les acheteuses doivent déposer une demande de réservation sur le site internet en indiquant un créneau horaire afin d’être recontactées par un consultant. ' Un contact téléphonique est un pré-requis nécessaire en vue d’une première booking. dès lors que la demande évaluée, l’interlocutrice peut accéder au catalogue afin d’effectuer une pré-réservation ', a expliqué l’agence. Un homme qui souhaite rejoindre ce catalogue en question doit lui aussi passer par plusieurs étapes. ' Le candidat fait part de ses motivations. Il remplit un questionnaire détaillé et précis avec des mises en situation ' afin de contrôler son niveau d’orthographe entre autres. ' Pour finir, il passe un ultime entretien de vive voix permettant de concrétiser ou non l’aptitude de ce dernier à rejoindre le catalogue ', confie l’agence. En cas de proposition à personnalité sexuel, elle met fin à la demande du candidat dès le premier contact téléphonique.
Le procès du Carlton, qui entre aujourd’hui dans sa dernière semaine, a jeté une lumière crue sur le marché particulier de la prostitution, l’escorting. Une ex-escort nous décrit un univers sans pitié. Souvent, elle porte les mains à son tête, ravale une grimace et puis se redresse, esquisse un rire malgré tout. Rester agréable en toutes circonstances : voilà une déformation professionnelle dont on ne se sépare pas si facilement, quand on a comme Julia*, vendu pendant dix ans non seulement son corps mais aussi sa compagnie, qui, pour « ces messieurs », se doit d’être toujours accorte, enjouée, cultivée. Malgré la souffrance, c’est « avec plaisir », jure-t-elle, que Julia, 42 ans, frêle jeune femme aux traits fins et à mate, accepte de se livrer sur son passé d’escort. Elle le croyait compagnon. « J’étais entièrement naïve. » C’est à cette époque-là aussi qu’elle comporte qu’il existe un véritable marché de l’escorting. « Je me suis retrouvée à une soirée remplie de jeune fille. Elles me demandaient toutes : Et toi, tu es de quelle agence ? Je suis tombée des nues. »
Ils ont entre 25 et 45 ans, pratiquent des métiers très différents : cadre dans une compagnie d’assurances, producteur, ingénieur, proviseur dans un lycée… Des M. Tout-le-monde, au look et physique passe partout. Certains sont en couple. Mais tous ont un point en commun : avoir fait appel à des prostitué ( e ) s. La première fois s’est souvent déroulée dans le cadre d’une soirée potache, lors d’une virée en Espagne ou ailleurs. «J’étais comme un gosse à la Grande Récré, elles étaient toutes magnifiques», se souvient Mathieu ( tous les prénoms furent modifiés ), cadre en région parisienne, à propos d’une virée il y a plus de 10 ans dans une discothèque-maison close à la frontière espagnole. Tous y sont retournés, seul, sur des sites internets ou dans la rue.
Cette procédure rapide a permis d’éviter un procès, le tribunal ayant retenu les blessures, mais admis que la vie de la victime n’avait pas été mise en danger. Ullrich, qui a accepté la sanction, se trouvait au moment des faits sous l’emprise de l’alcool et de drogues. L’ancien champion avait refait la une de l'information en 2018 à cause de plusieurs attaques ou actes violents. Il avait notamment été arrêté en Espagne pour s’être mis en place dans la propriété d’un voisin et avoir déclenché une bagarre. Il avait aussi été interpellé à l’aéroport de Hambourg après avoir agressé une personne. La presse allemande affirmait à l’époque qu’il suivait un traitement aux Etats-Unis contre ses addictions. Cette procédure rapide a permis d’éviter un procès, le tribunal ayant retenu les blessures, mais admis que la vie de la victime n’avait pas été mise en danger. Ullrich, qui a accepté la sanction, se trouvait au moment des faits sous l’emprise de l’alcool et de drogues. L’ancien champion avait refait la une de l'information en 2018 en raison de plusieurs attaques ou actes violents. Il avait notamment été arrêté en Espagne pour s’être mis en place dans la propriété d’un voisin et avoir déclenché une bagarre. Il avait aussi été interpellé à l’aéroport de Hambourg après avoir agressé une personne. La presse allemande affirmait à l’époque qu’il suivait un traitement aux Etats-Unis contre ses addictions.
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