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Les policiers comportent vite qu’ils viennent de mettre la main sur un réseau de proxénétisme qui commençait tout juste à s’organiser. Le dossier de votre siège est instantanément transmis au SRPJ de Montpellier qui procède à deux autres arrestations : celle d’une jeune femme de 26 ans, qui servait d’appât pour les personnes atteintes, et celle d’un troisième homme qui jouait lui le rôle de conducteur. Le chef de la bande repérait sur Internet des annonces de jeunes femmes qui proposaient leurs attributs. Les deux victimes avaient donc accepté de résulter à Montpellier, avec pour promesse de devenir escort girls et d’arrondir ainsi leurs de mois. L’une, âgée de 21 ans, venait de région parisienne. L’autre, âgée de seize ans seulement, de la région bordelaise. En arrivant à Montpellier, les deux jeunes femmes se sont donc retrouvées parquées dans deux suites d’un hôtel de standing de la ville, et violées. Les deux agresseurs furent mis en examen pour proxénétisme aggravé et viol, puis incarcérés. La jeune femme qui servait de complice a été mise en examen pour proxénétisme aggravé et placée sous contrôle judiciaire. Le ' conducteur ' a pour sa part été placé sous le régime de témoin assisté et laissé lui aussi en liberté.

Le procès du Carlton, qui entre aujourd’hui dans sa dernière semaine, a jeté une lumière crue sur le marché particulier de la prostitution, l’escorting. Une ex-escort nous décrit un monde sans pitié. Souvent, elle porte les mains à son tête, ravale une grimace et puis se redresse, esquisse un sourire malgré tout. Rester agréable en toutes circonstances : voilà une déformation professionnelle dont on ne se sépare pas si facilement, lorsque l'on a comme Julia*, acheté pendant 10 ans non seulement son corps mais aussi sa compagnie, qui, pour « ces messieurs », se doit d’être toujours accorte, enjouée, cultivée. Malgré la douleur, c’est « avec plaisir », jure-t-elle, que Julia, 42 ans, frêle jeune femme aux traits et à mate, accepte de se livrer sur son passé d’escort. Elle le croyait compagnon. « J’étais pleinement naïve. » C’est à cette époque-là aussi qu’elle comprend qu’il existe un véritable marché de l’escorting. « Je me suis retrouvée à une soirée remplie de filles. Elles me demandaient toutes : Et toi, tu es de quelle agence ? Je suis tombée des nues. »

Son métier, elle le fait pour l’argent, mais aussi parce qu’elle considère qu’elle fait le bien. « Ce n’est pas que sexuel : les acquéreurs ont besoin de combler un vide. »Ses clients sont issus de toutes les sphères de l'entreprise, du centre de la construction à la médecine. Pour la plupart, ce sont des hommes qui veulent combler des besoins auxquels leur femme ne répond pas. « Des gens tout à fait normaux », résume Emmanuelle. Cette dernière peut se permettre de sélectionner ses clients. Elle peut aussi refuser de faire certains gestes. En 13 ans de carrière, elle dit n’avoir jamais eu de client méchant. Elle reconnaît toutefois que certaines prostituées « sont prises dans la misère, que certains proxénètes bénéficient de leur travail. » Ce n’est pas le cas dans son agence de investissement. Le projet de loi, baptisé Loi sur la sécurité des collectivités et des personnes exploitées, mettrait un accent particulier sur les amendes pour ceux qui achètent des services sexy dans les lieux publics.

L’Azerbaïdjan a inondé les parlementaires du Conseil européen de cadeaux et d’argent pour atténuer leurs critiques concernant la situation des droits de l’homme dans cet Etat autoritaire du Caucase. Un rapport d’enquête proposé dimanche soir détaille ces exercices de lobbying un peu trop appuyés : certains élus se seraient vu offrir du caviar, des tapis et des nuits dans des hôtels haut de gamme de Bakou. D’autres auraient bénéficié de mandats pour guider les débats de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l'union européenne ( APCE ) dans un sens favorable à l’Azerbaïdjan. Des élus suisses ont aussi été la cible de ces faveurs. Ancien membre de l’APCE, le Tessinois Dick Marty a ainsi livré son témoignage aux enquêteurs précis chargés de dévoiler le «lobbying sale» des Azéris. «Une fois, démontre le rapport, lors d’une mission officielle à Bakou, vers 1h du matin, quelqu’un avait frappé à la porte de sa chambre d’hôtel. Il avait regardé à travers le judas et vu un avec une bouteille de prosecco et deux jeunes femmes simplement habillées. Il n’avait pas ouvert. »

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