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troubles urinairesExamens complémentaires, y compris, entre autres, échographie et mesure de flux urinaire. Traitements envisageables : Le traitement de l’hypertrophie de la prostate dépend du stade des évolutions : Dans le cas des propriétaires sujets à l’hypertrophie bénigne de la prostate, mais sans aucun symptôme, en l’absence de gêne et de complication, une surveillance annuelle est recommandée pour les personnes présentant des symptômes discrets ou modérés, avec peu de répercussions sur la qualité de vie. Pensez à modifier votre régime adaptez-vous aux indications de votre médecin. Si l’hypertrophie bénigne de la prostate provoque des problèmes de l'équipement urinaire, il faudra prévoir l’utilisation d’un traitement pharmacologique. Ce traitement est particulièrement efficace parmi les premiers stades , lorsque les troubles sont plutôt mineurs. Voyez les précisions avec votre médecin. En cas d’hypertrophie bénigne de la prostate difficile ( en moyenne 10% ), ou lorsque le traitement de santé est inefficace ou mal toléré, une solution chirurgicale est envisagée. n’oubliez pas – l’hypertrophie bénigne de la prostate n’est pas une tumeur maligne, cependant, sous-estimer les symptômes et refuser le traitement peut mener au cancer de la prostate.
Il n’est guère possible de prévenir l’adénome de la prostate de arriver. cependant, vous pouvez tenter d'informer l’inconfort et les complications qu’il provoque. Libérez votre prostate. Si vous aviez une activité sexuelle importante et constante, continuez à garder le rythme. Une étude australienne a montré que la masturbation quotidienne limitait le développement de l’hypertrophie bénigne de la prostate. Urinez quand vous en ressentez le désir. Se garder longtemps d’uriner peut irriter la vessie. Après 19 heures, buvez modérément pour éviter de devoir vous lever la soirée. Evitez certains aliments. Les mets épicés et salés, l’alcool, les breuvages riches en caféine ( café, thé, colas ) et le chocolat aggravent de l’HBP. En cas de rhume, évitez de prendre des médicaments contenant un décongestionnant ( comme la pseudoéphédrine ). Ces substances rendent l’émission d’urine plus difficile. Des modifications de la constitution d’hormones mâles, liées à l’âge, être à la base de l’hypertrophie bénigne de la prostate, mais cette hypothèse n’a pas encore été confirmée. Le diagnostic d’adénome de la prostate est évoqué à l’interrogatoire en présence de symptômes. Votre urologue vous interrogera sur vos antécédents chirurgicaux et vos traitements. Pour réaliser un calendrier mictionnel vous devez souligner pendant 3 jours l’heure et la quantité d’urine que vous avez à chaque miction.
L’Embolisation de l’Artère Prostatique ( EAP ) est une procédure non invasive innovatrice par son approche endovasculaire pour atteindre la prostate sans chirurgie, effectuée par un radiologue interventionnel en ambulatoire pour le traitement de l’adénome de prostate. Le radiologue interventionnel insère un cathéter de 1, 6 mm de diamètre dans l’artère au niveau du poignet ou de l’aine. En deuxième lieu, sous contrôle radiologique, il dirige le cathéter vers les petites artères qui alimentent la prostate. Après avoir vérifié le bon position du cathéter dans l’artère prostatique, des particules microscopiques sont injectés. Celles-ci permettent de bloquer l’apport sanguin aux artères de la prostate. La prostate est moins alimentée en sang, elle rétréci de taille et laisse l’urine passer à travers plus aisément. L’embolisation des artères prostatiques est une intervention radiologique mini-invasive accomplie parle radiologue interventionnel. Elle est un traitement efficace de l’hypertrophie bénigne ( adénome ) de prostate symptomatique. Elle se distingue des traitements urologiques par jet de vapeur, laser ou autre résection car agit uniquement par les vaisseaux. L’embolisation des artères prostatiques est une intervention techniquement complexe, et se doit d'être réalisée par un radiologue interventionnel spécialistes.
L’hypertrophie bénigne de la prostate ( HBP ) se distingue par une augmentation non-cancéreuse de la superficie de la prostate. ce virus est très répandue : elle touche 18 % des humains à 40 ans, et 50 % à 70 ans. Elle entraîne une compression de l’urètre qui est à l’origine de nombreux problèmes ( envies pressantes, mictions nocturnes, infections urinaires… ). Devant ces symptômes, les hommes se voient en général proposer un traitement médicamenteux. Lorsque celui-ci n’est pas ou plus efficace, une adénomectomie ( ablation de la zone hypertrophiée de la prostate ) peut être effectuée. À long terme, la complication la plus fréquente est l’éjaculation rétrograde. Lors de l’orgasme, le sperme est émis dans la vessie ( et non vers l’extérieur ) du fait de l’élargissement du col de la vessie suite au retrait de la partie hypertrophiée de la prostate. Sans retentissement sur la santé, cela peut cependant empêcher la vie sexuelle du malade, ou sa capacité à procréer. L’embolisation est une technique qui revient à naître combler les petites veines à l’intérieur de la prostate hypertrophiée par des microbilles. Moins alimenté par le flux sanguin, le textile prostatique régresse : une étude a montré que son nombre passait généralement de 96 à 42 cm3.
L’embolisation des artères prostatiques ( EAP ) induit une ischémie sélective prostatique, ayant pour résultat la réduction du étendue et de la rigidité de la prostate. Ce traitement est récemment apparu comme une option viable, notamment pour les prostates volumineuses qui n’ont pas répondu aux traitements, les personnes atteints d’un cancer de la prostate avancé ou de saignements réfractaires de la prostate. Mini-invasive et possible en ambulatoire, l’EAP serait un traitement bien toléré et aussi efficace que la résection transuréthrale de prostate ( TURP ), qui est le gold standard chirurgical pour traiter . Elle entraîne moins de complications et un moindre retentissement sur la vie sexuelle. Elle obtient cependant de moins bons serp pour les paramètres urodynamiques et le dosage des PSA à court terme. Les variantes anatomiques des vaisseaux prostatiques et la présence d’anastomose avec les organes environnants, de même que la courbe d’apprentissage importante de l’EAP, limitent sa émission. Des outils peuvent aider l’opérateur, comme par exemple les pseudo-scanners intraprocéduraux ou les angiographies 3D. Seule la taille des billes d’embolisation apparait toucher le résultat clinique de l’intervention. Plusieurs analyse récentes mettent en évidence un résultat clinique amélioré avec des microsphères de 100 – 350 μm. Une approche multidisciplinaire, avec une collaboration étroite entre le radiologue et l’urologue, ajoute de la qualité et de la valeur aux soins.
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