Ma source à propos de
https://www.lacompagnie.ch/e préfèrerais que ma fille devienne une escort girl plutôt que banquière ', démontre Becky au Sun. ' Je ne pourrais pas appréhender qu’elle veuille faire quelque chose d’immoral, qui puisse faire du mal aux autres. ' Emilia semble faire vivre l'évaluation de sa maman. La jeune fille étudie le tourisme et travaille dans un showroom. ' Je n’ai aucun soucis moral à coucher avec des inconnus. Je ne pense que ce soit mal pour une femme de vendre son corps. ' Elévée dans un couvent au pays de Galles, Becky Adams estime que ce serait hypocrite de sa part de dénigrer cette carrière pour sa propre fille. ' Toutes les jeune fille qui ont travaillé en ce qui me concerne étaient la fille d'un homme. Je veux que les prostituées, ma fille ou la vôtre, travaille en sécurité. ' À l’origine, j’ai commencé l’escorting pour pouvoir s'enrichir avec rapidité et abandonner mon ex-conjoint méchant. Masseuse de métier, je me suis dit pourquoi pas ? Puis, de fil en aiguille, cela m’a plu. Cela fait déjà plusieurs années que j’exerce cette profession parallèlement...
Le procès du Carlton, qui entre aujourd’hui dans sa dernière semaine, a jeté une lumière crue sur le marché particulier de la prostitution, l’escorting. Une ex-escort nous décrit un monde sans pitié. Souvent, elle porte les mains à son tête, ravale une grimace et et ensuite se redresse, esquisse un sourire malgré tout. Rester agréable en toutes circonstances : voilà une déformation professionnelle dont on ne se sépare pas si facilement, lorsque l'on a comme Julia*, acheté pendant 10 ans non seulement son corps mais aussi sa compagnie, qui, pour « ces messieurs », se doit d’être toujours accorte, enjouée, cultivée. Malgré la affliction, c’est « », jure-t-elle, que Julia, quarante deux ans, frêle jeune femme aux traits fins et à la peau mate, accepte de se livrer sur son passé d’escort. Elle le croyait moitié. « J’étais entièrement naïve. » C’est à cette époque-là aussi qu’elle contient qu’il existe un véritable marché de l’escorting. « Je me suis retrouvée à une soirée remplie de filles. Elles me demandaient toutes : Et toi, tu es de quelle agence ? Je suis tombée des nues. »
Son métier, elle le fait pour l’argent, mais aussi parce qu’elle considère qu’elle fait le bien. « Ce n’est pas que sexuel : les clients ont besoin de combler un vide. »Ses clients sont issus de toutes les sphères de la société, du milieu de la construction à la médecine. Pour la plupart, ce sont des propriétaires qui veulent combler des besoins auxquels leur femme ne répond pas. « Des le public tout à fait normaux », résume Emmanuelle. Cette dernière peut se permettre de sélectionner sa clientèle. Elle peut aussi refuser de faire certains gestes. En 12 ans de vie professionnelle, elle dit n’avoir jamais eu de client violent. Elle reconnaît toutefois que certaines prostituées « sont prises dans la misère, que certains proxénètes profitent de leur travail. » Ce n’est pas le cas dans son agence de placement. Le projet de loi, baptisé Loi sur la protection des collectivités et des personnes exploitées, mettrait un accent particulier sur les amendes pour ceux qui achètent des services sexy dans les lieux publics.
Cette procédure rapide a permis d’éviter un procès, le tribunal ayant retenu les blessures, mais admis que la vie de la victime n’avait pas été mise en danger. Ullrich, qui a accepté la sanction, se trouvait au moment des faits sous l’emprise de l’alcool et de drogues. L’ancien champion avait refait la une de l’actualité en 2018 grâce à de plusieurs assauts ou actes violents. Il avait notamment été arrêté en Espagne pour s’être introduit dans la propriété d’un voisin et avoir déclenché une bagarre. Il avait aussi été interpellé à l’aéroport de Hambourg après avoir agressé un homme. La presse allemande affirmait à l’époque qu’il suivait un traitement aux Etats-Unis contre ses addictions. Cette procédure rapide a permis d’éviter un procès, le tribunal ayant retenu les blessures, mais admis que la vie de la victime n’avait pas été mise en danger. Ullrich, qui a accepté la sanction, se trouvait au moment des faits sous l’emprise de l’alcool et de drogues. L’ancien champion avait refait la une de l’actualité en 2018 à cause de plusieurs invasions ou actes violents. Il avait notamment été arrêté en Espagne pour s’être introduit dans la propriété d’un voisin et avoir déclenché une bagarre. Il avait aussi été interpellé à l’aéroport de Hambourg après avoir agressé un gentleman. La presse allemande affirmait à l’époque qu’il suivait un traitement aux Etats-Unis contre ses addictions.
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